Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (97)

J’ai rejoint mon client avec tous les autres dans un hôtel de Bordeaux et je me trouve dans une situation insolite, j’ai à faire avec un fétichiste du pied qui va jusqu’à me fister avec les siens.
Comme cela m’est arrivé avec Anne je tourne de l’œil sous la puissance de mon orgasme !
Quand je réintègre, il bande comme un fou, sa tige est tendue et prête à éclater.
Je fais un geste avec la main pour la saisir.

• Non, pas avec ta main, masturbe-moi avec tes pieds !

Il a placé sa tige à leur hauteur, je les serre autour et d’un mouvement de haut en bas, je le masturbe.
Cette position ouvre ma chatte qu’il a en gros plan devant ses yeux et s’il évite de me toucher cela accentue la tension de son sexe.
Il est tellement en érection qu’en moins de temps qu’il n’en faut sa verge commence à avoir des soubresauts et des jets de spermes inondent mes pieds jusqu’aux mollets.
Il s’effondre en arrière et essaye de reprendre sa respiration qui l’a abandonné sous la puissance de sa jouissance.
Calmé, il se lève, remet ses sous-vêtements avec toujours autant d’élégance.

• Reste ici, je m’occupe de ce que je t’ai promis.
• Rien ne presse !
• A bientôt !

Il quitte la chambre où je m’endors en rêvant à des milliers de pieds qui défilent devant moi.
Le téléphone sonne.
La lumière de la chambre est allumée, je mets quelques secondes à réintégrer ou je suis.
J’att le combiné.

• Oui.
• Madame Magali ?
• Oui.
• Le réceptionniste va vous monter une enveloppe.
• Je l’attends.

Deux minutes et l’on frappe, je vais ouvrir dénudée comme à mon habitude.
Un jeune réceptionniste est devant moi.

• Vous êtes madame Magali.
• Entrer.

Il est comme pétrifié.

• Venez, personne ne mords ici.

Je vais jusqu'à mon sac et sors un billet.
À sa vue, il se décide à avancer.


Il me tend l’enveloppe et prestement saisie le billet de cinquante euros que j’ai préparé.
Il doit être puceau car il détalle aussi rapidement qu’un lapin, dommage je l’aurais bien croqué en guise de petit déjeuner.
Avec un vrai homme cela aurait presque été une injure à ma plastique !
La porte fermée, j’ouvre l’enveloppe, les billets promis sont là avec un petit mot.

« Merci pour cette bonne soirée, je vous fais monter ce que je vous dois agrémenter d’un surplus pour votre gentillesse.
Je saurai faire appel à vos services, j’ai récupéré une carte de votre association.
A bientôt »
Lettre non signée.

J’adore le terme d’association qu’il emploie, je vais dire à Valérie qu’elle a créé une association des queues en détresse, cela va bien l’amuser.
Les quinze billets de 200 € qui complètent ceux qui sont dans la première enveloppe me font penser que j’ai bien fait d’adhérer à cette association il y a quelques mois.
Cinq mille euros pour prendre son pied, même ses pieds, s’il me rappelle cela ne me posera aucun problème même si étant toute l’année à Paris, je doute qu’il ait les moyens de payer les frais de déplacement en plus de ma prestation mais l’avenir me le dira.

Il est à peine 23 heures et je suis peu fatigué.
Je vais allumer la lumière quand une idée me vient.
Je remets ma jupe et place mes affaires dans ma valise, sein à l’air, je quitte la chambre et frappe chambre cent vingt.
Quelque seconde d’attente et Frédérique vient m’ouvrir, elle l’a entrebâillé et la porte la glace sur l’armoire me renvoie l’image de Louisette suçant son mari tout en se faisant besogner par Frédéric.
Son visage à l’air d’apprécier le traitement qu’elle subit.

• Christine, eu Magali as-tu un problème ?

Sans attendre j’entre tirant ma valise, je l’embrase prestement lui donnant un baiser sur les lèvres.
Pendant ce temps sous les assauts répétés des deux mâles mon amie démarre sa jouissance.

Jacques éjacule au fond de sa putain de femme et Frédéric se retire souhaitant garder son foutre pour une prochaine occasion.
À son âge mieux vos êtres prévoyants.
Je m’assois au pied du lit, Jacqueline, vient poser sa tête sur mes genoux. Frédéric se place derrière moi et en restant à genoux m’enserre de ses bras avec une main sur mon sein.
Frédérique et Jacques s’assoient à mon côté.

• Je vous explique.

Je leur raconte tout ce qu’il m’est arrivé depuis que j’ai déposé mes amis devant leur chambre finissant par l’arrivée de l’enveloppe par le jeune réceptionniste.

• J’ai connu un homme connu qui était adepte du massage des pieds.
Il avait souvent pris l’habitude de pratiquer sa passion à toutes occasions, il a terminé par avoir des soucis qui se sont bien terminés heureusement pour lui.
• Vous vous connaissez !

La Jacqueline est fine mouche.

• Oui et depuis longtemps, je suis passé par le même parcours que vous avant d’intégrer définitivement l’organisation.

Je leur raconte comment j’ai connu nos deux amis, comment j’ai découvert qui ils étaient réellement le jour de mon anniversaire.
J’ai accompagné Véronique en région parisienne dans la même auberge le jour de son engagement dans l’organisation.

• Frédéric avons-nous passé notre examen de passage avec succès pour entrer ?
• La nuit est loin d’être terminée mais pour le moment s’est avis favorable. D’accord Frédérique ?
• La passion que tu as mise à me sucer la chatte ma Louisette t’assure un avis favorable, quant à Jacques, il va bientôt me baiser, tu es arrivée trop tôt Magali, je réserve donc ma réponse et mon jugement.

Jacques se lève, s’agenouille devant elle, lui écarte les cuisses et plonge sur la vulve qu’elle lui offre avec envie.

• Il me lèche aussi bien que toi Christine il marque un point.

Je manque d’éclater de rire, Frédérique me connaissant en dehors de mes soirées professionnelles, donc mon vrai prénom se mélange entre l’un et l’autre.

Louisette profitant de sa position commence à me sucer un sein, je me penche et je lui prends la bouche qui aime la retrouver.
Frédéric comme à son habitude cabot jusqu’au bout des ongles voulant garder l’avantage, vient se mettre dans la même position que Jacques à son côté.

• Donne-moi ta chatte.

Je me soulève et fais remonter ma mini.

• Oui, bouffe-moi, un pied pour la nuit c’est insuffisant même si cela m’a bien rapporté. !

Aussitôt il me broute avidement et ma conque commence à déverser ses sécrétions sur la langue qui la taraude.
D’un coup fidèle à lui-même Louison et moi le voyons cherché avec un doigt l’anus de Jacques, l’ayant trouvé, il l’enfonce sans qu’il y ait de mouvement de réprobation de son mari.
Louisette relève ses yeux vers moi incrédule son regard se tinte d’étonnement. Que pense-t-elle ?
Mon mari serait-il pédérastes ?
Pour la détourner de cette vision, je passe ma main sur sa chatte et lui introduite trois de mes doigts au fond de sa fente.
Je fais coulisser de droite à gauche et profitant de mon avantage, j’en profite pour ajouter les deux derniers.
Elle devait trouver la position inconfortable car elle pivote sur ses fesses et me présente sa minette dans l’axe de ma main.
Ce mouvement m’a permis d’arriver au nœud du problème, le poignet, je tourne dans la chatte de droit à gauche et je sens le passage céder.
Je suis au fond, le bout de mes doigts sent l’entrée de son utérus, j’arrive à y insinuer mon majeur.

• Jacques regarde, j’ai une main dans ma chatte !

Il relève la tête et constate qu’elle dit vrai.

• Chérie, Frédéric me met un doigt dans le cul et j’aime assez.
Christine. Euh! Non Magali.
• Dur de changer de prénom à la demande, même Frédérique lorsque Christine est arrivée a fait l’impaire.
Il faut apprendre quand cela arrive à s’en sortir par une pirouette qui laisse le client dans le doute.

Vous verrez cela vient vite.

Nous parlons alors que Louisette a toujours ma main dans sa chatte.
À la manière dont ses yeux commencent à se révulser, elle est près d’atteindre son nirvana.
Je suis sûr de lui faire atteindre lorsque ma main va s’ouvrir.
Je la masturbe de droit à gauche et elle commence à émettre des sons de plus en plus stridents.
Je me lance, j’ouvre la main très lentement, je veux que pour son premier fisting il soit gravé à vie dans sa mémoire comme ma première fois avec ma petite Anne l’est à jamais dans la mienne.
Contrairement à moi, le fait d’écarter mes doigts puis ma main lui fait monter son plaisir crescendo mais d’une manière ininterrompue jusqu’à l’explosion finale qui se termine inexorablement par sa perte de connaissance…

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